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L’exemple des résistants camisard d’Anduze
Il y a quand même des endroits où le peuple ne se laisse pas faire. Où il est encore capable de s’assoir sur les rails quitte à se faire gazer par un capitaine de gendarmerie auquel le préfet a du mettre la pression. Car il faut que l’Europe se fasse et que la France disparaisse. Et le peuple n’a qu’à bien se tenir. Seulement voilà, à Anduze, les gens ne veulent pas être rattachés sans consultation à la Communauté d’Alès. Avec leur fichu démocratie locale, qui marche très bien, ils ont déjà bouté le maire hors de la présidence de la communauté. A Anduze, ils n’en sont pas à leur première révolte contre le pouvoir central, ces camisards, ces résistants. Et le désert, ils connaissent. Ils veulent préserver leur caractère rural. Messieurs les écologistes d’aéroport, avant de leur coller votre dictature bruxelloise, il faudra leur passer sur le corps
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Attention de ne pas tomber dans une caricature de combat "nationaliste" et "chauvin" qui serait hors de propos ! La communauté de communes mérite mieux ! Elle a la dimension requise, elle fonctionne plutôt bien et elle peut s'étendre autour d'Anduze. Ce n'est pas un territoire fermé, simplement les alliances ne se font pas par ambitions individuelles et contraintes collectives ! Espérons que le CDCI tiendra compte des réalités géopolitiques afin de ne pas dépouiller "Pierre le rural" pour habiller "Jacques l'urbain" ?
RépondreSupprimerDans mon souvenir, c'était plutôt les "Jacques" qui étaient ruraux. Quant à "Pierre le rural", il porte bien son nom. En ville, il se serait appelé "Béton l'urbain". Lol
RépondreSupprimerÇa n'empêce pas que la résistance n'est pas un combat "nationaliste et chauvin", mais l'expression d'une saine méfiance. Et "espérer dans les CDCI", c'est espérer que les politiques soient fiables !
Rien n'est moins sûr, voyons !